Elles préconisaient aussi le renforcement d’un dépistage ciblé et régulier pour les populations les plus exposées, soit les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) multi-partenaires, les utilisateurs de drogues par injection (UDI) et les personnes multi-partenaires originaires d’Afrique subsaharienne et des Caraïbes.
Au regard des nouvelles données épidémiologiques et de celles portant sur le recours au dépistage de l’infection à VIH depuis 2009, et à la demande de la Direction générale de la santé, la HAS réévalue cette stratégie de dépistage.
Vous trouverez ci-joint tous les documents relatifs à ces nouvelles recommandations.