Cet article fait le point sur l’incidence plus élevée du VIH chez les femmes par rapport aux hommes dans les DFA, de leur vulnérabilité biologique, aggravée à certaines périodes comme la puberté ou la ménopause. mais aussi des déterminants sociaux de santé en leur défaveur : niveau d’études, chômage, rapport de genre dans notre département. La lutte contre le VIH doit prendre en compte ces déterminants qui se situent en amont des problèmes de santé.

Cet article a été présenté le 28 novembre 2014 au séminaire VIH SIDA vulnérabilité des femmes organisé par l’IREPS